28 juillet 2009
Ô bergeries
La neige
Ce sucre glace saupoudré sur les toits chocolatés
Le vent l‘a érosée de son souffle
Il n’en reste qu’une fine pellicule
Les bergeries
Une odeur foudroyante de chaleur
Mes vêtements s’imprègnent de ce feu laineux
Mon nez citadin refuse d’y entrer
Mais ô bergeries
Porté par ses souvenirs d’enfance, mon être accepte
Il baigne dans ce qui est bon
Ô bergeries
J’y rentre fade
J’en sors avec caractère
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L